oui on pense à l'autre, c'est évident si on l'aime enfin si on l'a aimé, assez
mais on n'est pas l'autre et on ne le sera jamais et cet autre différent de soi, même s'il fut passagèrement complémentaire (puisqu'il n'est plus là pour faire ce "complément") cet autre vaut-il une seconde que le moi n'existe plus? ce moi n'existait-il que par l'autre qui est parti comme un mythe après lequel on court sans jamais le rattraper?
ou bien ce moi peut-il exister en dépit de toutes les épreuves , les merdes qui arrivent dans toute existence?
ne plus écrire est une chose ne plus vivre en est une autre
en ce moment l'envie d'écrire m'a quitté, je ne m'en expliquerai ou justifierai même pas cependant si je n'écris pas j'existe encore et n'ai pas l'intention présentement de quitter ce monde silence peut-être oui, jusqu'à ce que je parle à nouveau
mais suicide, non!
on peut vivre "au contre" de cette vie boulimique, lubique, jouissive à l'extrême
le "bonheur" est éphémère, le "soi" est à cultiver pour qu'il arrive à maturité
pour quoi, pour qui?
pour soi-même déjà
une personne équilibrée et dans la paix (ou tendant à l'être) est plus utile au monde que milliers de moutons abrutis
oui on pense à l'autre, c'est évident si on l'aime
enfin si on l'a aimé, assez
mais on n'est pas l'autre et on ne le sera jamais
et cet autre différent de soi, même s'il fut passagèrement complémentaire (puisqu'il n'est plus là pour faire ce "complément")
cet autre vaut-il une seconde que le moi n'existe plus?
ce moi n'existait-il que par l'autre qui est parti comme un mythe après lequel on court sans jamais le rattraper?
ou bien ce moi peut-il exister en dépit de toutes les épreuves , les merdes qui arrivent dans toute existence?
ne plus écrire est une chose
ne plus vivre en est une autre
en ce moment l'envie d'écrire m'a quitté, je ne m'en expliquerai ou justifierai même pas
cependant si je n'écris pas
j'existe encore
et n'ai pas l'intention présentement de quitter ce monde
silence peut-être oui, jusqu'à ce que je parle à nouveau
mais suicide, non!
on peut vivre "au contre" de cette vie boulimique, lubique, jouissive à l'extrême
le "bonheur" est éphémère, le "soi" est à cultiver pour qu'il arrive à maturité
pour quoi, pour qui?
pour soi-même déjà
une personne équilibrée et dans la paix (ou tendant à l'être) est plus utile au monde que milliers de moutons abrutis
bonne journée à toi